SOMMAIRE
1. Un retour en arrière pour tout comprendre
2. Tifa rejoint la partie et nous ouvre la route
3. On peut enfin jouer avec Séphiroth
En effet, Square Enix proposera la seconde partie le 21 septembre prochain,
soit une semaine avant la sortie mondiale du jeu. Intitulée « Le début
d'une nouvelle ère à Junon », elle nous permettra de visiter les alentours
de la ville portuaire de Junon et d’avoir un premier aperçu du monde vaste que
le jeu va nous offrir. Mais en attendant, c’est à Nibelheim que l’on s’est
rendu pour découvrir ce qui s’est réellement passé lors de ce qu’il convient de
qualifier « l'incident de Nibelheim ».
Un retour en arrière pour tout comprendre
Tout commence avec la tribu qui s’est extirpée de l’enfer de Midgar pour continuer leur aventure et leur traque de Séphiroth. À Kalm, Cloud et Tifa profitent d’un moment de répit pour se remémorer le passé et évoquer l'incident de Nibelheim. On est donc transporté cinq ans en arrière et on découvre un jeune Cloud, âgé de 16 ans, qui est accompagné de Séphiroth. Il est de retour dans sa ville natale, où vit sa mère, pour enquêter sur l’apparition de monstres dans les montagnes du Mont Nibel. Avant de partir enquêter, on a l’occasion d’explorer les lieux et de s’imprégner de l’ambiance qui règne dans cette petite bourgade. L’atmosphère est plutôt effervescente, car la venue de la légende Séphiroth fait son effet, il a même droit à un comité d’accueil : tout le monde veut le voir.« La démo est composée d’un flashback relatant un événement tragique qui va changer Séphiroth et Cloud à tout jamais »On découvre et on se régale en contemplant les lieux. Graphiquement, on est dans la continuité du premier épisode de la saga Remake, c’est comme s’il n’avait pas eu quatre ans d’attente entre la fin de FFVII Remake et cette démo. Cloud apparaît si jeune visuellement, mais aussi dans son comportement fougueux. On sent bien que le jeune SOLDAT n’a pas fini de prendre de la bouteille et, on pressent, que l'incident de Nibelheim va le faire mûrir drastiquement. Après avoir visité plusieurs lieux « obligatoires », on va pouvoir commencer notre mission, mais pour pouvoir se repérer, il va falloir une personne qui connaît bien la région pour les guider sans encombre. Qui d’autre que Tifa pour se plier à cet exercice ?
Tifa rejoint la partie et nous ouvre la route
On retrouve donc l’amie d’enfance de Cloud. Que c’est un bonheur de la retrouver avec sa tenue de texas girl, avec son chapeau et ses santiags. Elle aussi fait jeune, mais elle a un caractère bien affirmé, elle sait ce qu’elle veut et son coup de pied légendaire va encore faire mouche. Contre l’avis de Cloud, elle s’impose et ouvre le chemin de l’ascension du Mont Nibel. Si la zone paraît vaste et ouverte, on retrouve le côté dirigiste du jeu, qui nous « guide » et nous montre la voie à suivre, sans possibilités de faire du hors-piste. On est conscient que malgré les vastes étendues qui nous entourent, on progresse dans un couloir. C’est la marque de fabrique du jeu, c’est surtout un moyen de développer une histoire dense et bien étoffée, en étant certain que les joueurs ne vont pas passer à côté de certaines choses.« L’ascension du Mont Nibel est une véritable foire aux matérias, il suffit de se baisser pour les ramasser à la pelle »
On fait nos premiers combats pour se remettre dans le bain et se familiariser avec le gameplay de Final Fantasy VII Rebirth et c’est surtout l’occasion de mettre la main sur tout un tas de matérias qui seront bien utiles pour affronter le boss, le terrible Gardien de matéria. En caricaturant, on ne peut pas faire un pas, sans tomber sur une matéria : Il ne faut pas oublier que c’est une démo. Durant les différents combats, on peut apprécier les animations de chaque coup, surtout que l’on peut switcher de Cloud à Séphiroth à sa guise. On en prend plein les yeux, c’est lumineux, nerveux : un véritable régal. Au début, on ne joue qu’avec Cloud, mais après on a la possibilité de contrôler Séphiroth et là, c’est la grosse claque, tant le personnage est d’une puissance incroyable. Avec cette démo, on expérimente, pour la première fois, les compétences synchronisées de Cloud et Séphiroth et c’est très efficace.
On peut enfin jouer avec Séphiroth
On ne va pas le cacher, on a pris beaucoup de plaisir à découvrir le gameplay de Séphiroth basé sur l’attaque, l’esquive, le contre et la contre-attaque. C’est un vrai kif de manier Masamune, son long katana effilé qui tranche dans le vif. Bien que l’on ait la possibilité de switcher entre les deux SOLDAT, on a fait le choix de garder Séphiroth en personnage principal pour vraiment se faire plaisir. On attendait ça depuis le premier jeu, on ne pouvait pas faire l’impasse. La fin de l’ascension se termine avec l’affrontement contre le Gardien de matéria. La suite, on n’en dira pas plus, car elle est dramatique, poignante et lève le voile sur ce qui s’est vraiment passé et ce qui a fait que les deux hommes sont devenus antagonistes.« L’impatience se fait ressentir »On attendait déjà impatiemment la sortie, le 29 février prochain sur PS5, de Final Fantasy VII Rebirth, mais après avoir passé deux bonnes heures à plonger dans le passé de Cloud, Tifa et Séphiroth, l’envie de découvrir le jeu dans son entier est plus que présente. Heureusement, on a trois choses à faire en attendant la sortie. Notre attente était grande, on n’a pas été déçu, juste frustré de devoir attendre deux semaines avant de découvrir la seconde partie de la démo : c’est clair qu’on ne va pas la louper !
L’HISTOIRE : 5/5
IMAGE ET SON : 5/5
GAMEPLAY :4/5
L’AVIS GÉNÉRAL : 5/5
[ LA NOTE : 19/20 ]
Pour en savoir plus, mate la vidéo de la démo de Final Fantasy VII Rebirth :
> Final Fantasy VII Rebirth, un jeu Square Enix sur PS5, le 29 février 2024. Pour en savoir plus et pour précommander, rendez-vous ici : https://fr.store.square-enix-games.com/final-fantasy-vii-rebirth
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