Le Thief renaît de ses cendres dans un jeu qui est bien décidé
à redonner ses lettres de noblesse au genre infiltration. D’entrée, les
puristes crieront au sacrilège, mais ceux qui ne connaissaient pas la licence,
se plairont à découvrir Garett, le maître voleur, et la sublime cité dans laquelle
se joue le scénario.
L’ambiance d’un jeu fait beaucoup pour que l’immersion du
joueur soit totale, celle de Thief a été soignée et elle n’est pas sans
rappeler celle de Dishonored :
ça tombe bien, on avait adoré. Donc on ne se prive pas de se lancer dans
l’aventure en gardant en tête que la lumière est notre ennemie et que l’ombre
sera toujours une alliée pour mener à bien ses missions.
Principalement, il faut se faire discret dans Thief,
même très discret, car un moindre mouvement peut alerter les gardes qui rodent
et c’est un retour à la case départ. À certains moments, les nerfs sont mis à
rude épreuve, mais c’est aussi pour cela qu’on aime les jeux d’infiltration. De
ce côté, Thief
met le curseur de difficulté très haut avec un minimum d’aide à l’écran. Il
faut faire confiance à son instinct de voleur, interagir avec l’environnement
afin qu’il soit bénéfique à nos méfaits et, si ça ne suffit pas, utiliser les
flèches qui sont à notre disposition pour viser droit au but.
C’est d’ailleurs tout un arsenal de flèches que le Thief
peut utiliser suivant les situations auxquelles il est confronté. Du bon sens,
de l’attention et beaucoup de sang froid seront également des qualités
indispensables pour progresser sans trop d’encombres.
L’infiltration et l’action sont donc au top avec Thief,
un titre qui nous régale aussi bien au niveau du fond que de la forme.
> Un jeu Square Enix sur PS4, PS3, Xbox et XOne, déjà
dispo
Jouabilité : 17/20
Durée de vie : 17/20
Bande son : 18/20
Note générale : 18/20
plus d’infos sur : http://www.thiefgame.com/agegate?locale=fr
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