La rédac’ s’est bien fait peur en jouant au dernier jeu
de chez Sony. On a testé Until Dawn, voici le verdict…
Tous les ingrédients qui font un bon slasher se retrouvent dans Until Dawn, le premier gros jeu de la rentrée
qui annonce la couleur dès les premières secondes. Dans un décor oppressant à
souhait, un chalet perdu dans une station de haute montagne, avec une météo peu
clémente, huit jeunes se retrouvent pour passer un week-end au frais, un séjour
qui va leur réserver quelques sueurs froides.
Car ils ne sont pas seuls, dans l’ombre le tueur
guette et il est bien décidé à leur faire la peau, un par un. Il ne manque pas
de ressource, ni d’imagination pour faire trépasser ces ados tout droit sortis
de Scream, Souviens-toi l’été dernier ou Scream
Queens.
Les plans du serial killer ne sont pas écrits dans le
marbre. En effet, la spécificité de Until Dawn (qui n’est pas sans rappeler le
gameplay de Heavy Rain et Beyond : Two Souls) est de faire
progresser l’histoire en fonction des choix que l’on va prendre au long du
déroulement de la trame. Constamment, on est amené à choisir entre plusieurs
possibilités pour faire progresser le personnage. Ces choix auront des
conséquences (plus ou moins graves) sur la survie des protagonistes et sur le
déroulement.
Until Dawn s’avère être un véritable film
(d’horreur) interactif que l’on écrit suivant nos envies. On se prend à mener
l’enquête, ce qui contribue à nous plonger dans l’atmosphère angoissante du
jeu, mais c’est bien connu, on aime jouer à se faire peur. Pour pimenter le
tout, des phases d’action rythment le jeu avec des QTC (Quick Time Event) bien
sentis qui donneront du fil à retordre et sont de véritables boosts
d’adrénaline.
On pourrait penser que le système de jeu veut que l’on
avance à l’aveugle et que l’on découvre au pied du mur les conséquences de nos
choix, mais ce n’est pas vraiment le cas. Au long de Until Dawn on dispose de
différents outils et éléments qui vont nous permettre « d’influer »
sur la suite de l’action. Des totems, cachés dans le décor, offrent des visions
du futur. Dans un autre registre, les jauges d’affinités sont des indicateurs
qui vont permettre d’anticiper la réaction des autres protagonistes. On peut
également s’en servir pour diriger l’évolution du personnage joué.
Until Dawn a été soigné, le jeu est à la
hauteur de nos attentes, surtout au niveau des personnages et de leurs
expressions du visage qui ont été bichonnés. Afin d’être le plus réaliste
possible, ce sont de véritables acteurs qui se cachent derrière les personnages.
La modélisation est absolument parfaite et il n’y a rien à redire du choix du casting :
Hayden Panettiere (Heroes), Brett Dalton (Les agents du SHIELD), Rami Malek (Twilight), Jordan Fisher (Teen Beach), Meaghan Martin (Camp Rock), Peter Stormare (Constantine).
Pourquoi on aime le jeu ?
Parce que l’on aime jouer à se faire peur et que je jeu
reprend tous les codes du genre, on ne pouvait que succomber à son gameplay original,
à la Heavy
Rain, qui tient en haleine et provoque
quelques bonnes sueurs froides !
> Until Dawn, un jeu Sony sur PS4, le 26 août.
Plus d’infos : https://www.playstation.com/fr-fr/games/until-dawn-ps4/
Plus d’infos : https://www.playstation.com/fr-fr/games/until-dawn-ps4/
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire