C’est un monde postapocalyptique que nous fait découvrir Stellar Blade. L’humanité n’a pas survécu aux attaques extraterrestres des Naytibas qui ont ravagé la Terre et contraints les hommes à fuir. Mais ils restent encore des volontaires qui ne veulent pas baisser les bras et qui veulent se battre. Ainsi, Adam, un recycleur, va conduire Eve, l’héroïne de Stellar Blade, à Xion, le dernier bastion de l’humanité.
C’est ainsi que notre périple commence dans la démo du jeu disponible en téléchargement gratuit ici : https://store.playstation.com/fr-fr/product/EP9000-PPSA18488_00-STELLARBLADEDEMO. Cette démo correspond à la première heure du jeu et la progression sera transférable dans le jeu complet.
Nous voilà donc dans un monde en ruine, qui est notre terrain de jeu pour découvrir que la belle Eve a tout ce qu’il faut pour combattre et tenir tête à des hordes d’aliens bien vénères. On part donc traquer les Naytibas et les premiers combats nous montrent que le jeu ne sera pas qu’une partie de plaisir. Il faut s’y reprendre à plusieurs fois pour comprendre les mécaniques du gameplay et ce que le jeu attend de nous. C’est prometteur, même si ça ne révolutionne pas le genre.
« Il faut s’y reprendre à plusieurs fois pour comprendre les mécaniques du gameplay et ce que le jeu attend de nous »Le premier constat que l’on fait, c’est que Stellar Blade est beau avec ses environnements aussi bien soignés que détaillés. Il y a de l’inspiration derrière chaque décor. Visuellement, le jeu en jette comme les premières vidéos l’avait laissé présager. On sent bien que le jeu a été développé pour la next gen et la PS5 lui rend hommage. D’ailleurs, les développeurs se sont appliqués de tirer entièrement parti des spécificités de la console de Sony avec le retour haptique et les gâchettes adaptatives qui sont bien utilisés, le SDD et sa rapidité qui met KO tous les temps de chargement et donne une grande fluidité au jeu. On n’oublie pas le son avec la technologie sonore Tempest 3D Audio Tech qui permet une grande immersion. Et puis il y a la modélisation des personnages qui met une grande claque. On n’épiloguera pas sur les proportions de la plastique d’Eve, on aime ou pas, ça n’enlève en rien au travail qui a été fait pour lui donner vie. Rien à redire des animations en combat qui en jettent vraiment. Les différents modes graphique semblent tenir la route du moins pour la démo, il faudra voir ce que le jeu fini aura dans le ventre. La musique est parfaite, avec ses accents à la NieR et à Final Fantasy XIII. D’ailleurs, en jouant à la démo de Stellar Blade, on n’a pas pu s’empêcher de penser à plusieurs jeux, En plus de ceux cités précédemment, on peut rajouter Bayonetta.
Lire aussi : Une vidéo de 6 minutes pour en savoir plus sur Stellar Blade
Du côté du gameplay, celui d’Eve est solide avec son épée qui permet de réaliser des combos plus ou moins puissants. L'une des clefs de sa maîtrise, c’est la parade parfaite, surtout quand on les enchaîne, ce qui permet d'effectuer un coup surpuissant. Comme tous les jeux du genre, il ne suffit pas d'attaquer, il faut aussi rester sur ses gardes, esquiver et se protéger, sans oublier d'utiliser l'environnement, comme les bidons à faire exploser. Eve bénéficie d’un arbre de compétences et différentes tenues avec leurs propres spécificités à choisir selon ce que l'on recherche. Tout ça permet d’adapter le gameplay à son style de jeu.
« Eve bénéficie d’un arbre de compétences et différentes tenues avec leurs propres spécificités »
On n’a pas vu passer le temps et on s’est laissé prendre par cet amuse-bouche qui donne vraiment envie d’en voir plus. Cette démo est assez linéaire, reste à voir ce que le jeu va nous proposer par la suite. On a trouvé les ennemis assez diversifiés, ça nous a incité à faire attention à notre stratégie, ce qui devrait être une bonne chose pour corser l'expérience. On n’espère pas trop quand même pour rester accessible au plus grand nombre. On le répète, tout ça reste très prometteur.
Pour en savoir plus, mate la vidéo de Stellar Blade :
> Stellar Blade, un jeu Sony sur PS5, le 26 avril.
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