lundi 30 septembre 2013

GTA V (Test)


On l’attendait, la dernière perle de Rockstar est enfin sortie. La rédac’ a testé GTA V et te livre son verdict…

Un open world gigantesque qui donne le vertige et qui, d’entrée, nous fait dire que l’on n’est pas prêt à voir la fin de GTA V. Mais qui s’en plaindrait ? Durant les cinq années de production du jeu, Rockstar n’a pas chômé pour offrir un titre complet, riche et varié. Mais le studio avait-il le choix ? Avec l’attente devenue (presque) insoutenable, les aficionados de la franchise se montraient de plus en plus exigeants quant à leurs attentes. Il était donc impensable de froisser la communauté GTA et le seul moyen d’y parvenir était d’offrir un vrai univers que chacun prendrait plaisir à arpenter en long en large et en travers, et voir plus.
 
De ce côté, c’est du pur bonheur. À aucun moment on se sent bridé, car dans GTA V c’est un véritable sentiment de liberté que l’on savoure aux volants de son véhicule préféré. Il faudra du temps avant de connaitre Los Santos et Blaine County comme le fond de sa poche, car la map est immense et les missions sont nombreuses, mais comme on est prêt à relever le défi, rien ne nous fait peur et l’on est plutôt impatient de jouer les globetrotteurs dans cette mégapole virtuelle.
 
Une impatience justifiée, car, pour la première fois dans la franchise GTA, ce n’est pas un mais trois personnages que l’on va incarner. Que ce soit Michael, quadragénaire braqueur repenti, Franklin le vendeur de voitures qui fait fumer l’asphalte et braque des voitures à ses heures perdues et Trevor, looser et psychopathe de service qu’il vaut mieux ne pas croiser sur son chemin, on a le choix dans le personnage que l’on veut incarner. En effet, hors mission, on peut switcher de l’un à l’autre selon l’envie du moment et dès que l’on se lasse on peut passer à un autre malfrat. On parlait d’un sentiment de liberté avec la map, mais c’est aussi vrai avec ce parti pris de faire reposer l’action sur un trio haut en couleurs franchement bien senti.
 
Les habitués du genre retrouveront vite leurs marques et se délecteront de ce nouvel opus qui est bien plus qu’un simple successeur des précédents opus. GTA a su se réinventer, tout en misant sur les fondamentaux qui ont fait la légende de cette saga devenue culte. Il suffit de voir comme la sortie du jeu a été traitée dans les medias pour se rendre compte que le jeu est devenu une référence en la matière et un phénomène de société qui touche plusieurs générations. On a aussi beaucoup parlé du jeu pour sa violence et c’est un fait que l’on peut nier. C’est vrai, GTA V est un jeu où tout est permis, où l’on peut faire tout est n’importe quoi, même les comportements les plus répréhensibles. En ce sens, le jeu est réservé aux plus grands qui prendront plaisir à se plonger dans cette simulation de vie de gangsters.
 
Lancement et pari réussis pour Rockstar puisque GTA V tient toutes ses promesses. À noter que le jeu a engrangé plus d'un milliard de dollars de recettes en trois jours à travers le monde et, en France, il n’aura fallu qu’une semaine pour que 1,1 millions d’exemplaires soient écoulés.
 
 >  GTA V, un jeu Rockstar sur PS3, Xbox et PC, le 17 septembre





Graphisme : 18/20
Jouabilité : 17/20
Durée de vie : 18/20
Bande son : 18/20
Note générale : 18/20



Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire