L’HISTOIRE
Pour vaincre
les Zigotons, les ennemis jurés des Patapon, les petits guerriers (aussi
braves que courageux) ont besoin d’un Dieu pour les guider sur le champ de
bataille. La route sera longue pour atteindre Earthend, la Terre où ils reposeront
en paix. Pour les faire avancer et vaincre toute sorte de monstres il faut
maîtriser le rythme de leurs chants guerriers.
Note 4/5
L’IMAGE ET LE SON
Si le jeu nous avait déjà séduit lors de sa sortie en
2008, c’est qu’il proposait un graphisme coloré, soigné et stylé. Il en était
de même pour le look des Patapon. L’arrivée sur PS4 permet d’apprécier encore
plus le style visuel du jeu en 1080p et en 4K dynamique sur PS4 Pro. Pour jouer
à fond la carte de la customisation et rendre ses Patapon uniques et forts, 100
armes et items sont à découvrir en jeu. Quant à la bande son, elle reste un
élément majeur du succès du jeu. Les musiques sont rythmées et entêtantes :
c’est redoutablement efficace.
Note 4/5
LE GAMEPLAY
Le gameplay de Patapon Remasterised
est presque minimaliste puisqu’il est essentiellement basé sur la
maîtrise du rythme / techniques de tambour (au total de six) pour commander ses
Patapon. Marcher, attaquer, défendre, faire de la magie, faire appel à des
pouvoirs spéciaux ou simplement se retirer, sont les techniques qu’il faut
employer à bon escient et ainsi établir une stratégie efficace face aux
différentes situations que les Patapon affronteront. Ça paraît simple, mais pas
aussi simple que l’on pouvait penser, il faut de la rigueur et (inévitablement)
avoir le sens du rythme.
Note 5/5
L’AVIS GÉNÉRAL
Ceux qui avaient découvert le jeu sur PSP, il y a dix ans
déjà, ont de suite porté le titre au rang des jeux culte tant il est addictif
et décalé. Le portage sur PS4 ne changera en rien cet avis tant le fond et la
forme sont efficaces et ont réussi à passer l’épreuve du temps.
Note 4/5
Pourquoi on aime le jeu : Pour ses graphismes et sa bande son. Qui n’a pas chanté avec ses petits guerriers « Pata Pata Pata Pon » ? C’est addictif et on en redemande !
[Note de la rédac’ : 17/20]
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